encrage : poison ivy d' àprès Alex Ross
Pamela Isley, plus communément appelée Poison Ivy.
Comment dire, elle intrigue, cette femme là!
Ce qui la différencie des autres superhéroinnes, évoluant chez marvel, ou chez dc, c' est que ce jolie brin de fille commande à dame nature et agit pour protéger des intérêts écologiques.
Crée par Robert Kanighert et Sheldon Moldof, dans les pages de batman 181, en 1966, la jeune Pamela, poursuit des études de biochimie et de botanique. Son professeur, un super-vilain notoire, s'en sert comme cobaye, au cours d' expériences douteuses. Ce qui a pour effets de déstabiliser psychiquement la frêle étudiante.
Transformée en véritable biotope vivant, pamela est capable de produire toutes sortes de toxines à base de fleur . Elle produit aussi des phéromones , qui charmes ses ennemis et les asservis. L' inhalation répétée de ces toxines à tout de même, un effet secondaire , qui lui provoques des sautes d'humeurs, mais plus gravement, affecte ses facultés de raison.
Devenue poison ivy, la jeune femme, veut se venger de sa transformation, elle menace de déverser un poison dans l'aire et ainsi, infecter toute la ville de Gotham. Arrêtée par le batman, elle fait plusieurs séjours à l' hôpital psychiatrique d' Arkham, ou son état mental, se dégrade.
Poison Ivy, se renferme sur elle même, ne parle plus qu ' à ses plantes cherries et s' évades loin sur une ile qu'elle façonne en un paradis vert.
Poison Ivy est depuis considérée comme une éco-terroriste, par les autorités
Voici le dessin original, de Alex Ross :
Ce qui me plait dans ce crayonné, c' est la posture iconique de poison ivy. Elle est ici représentée de façon dominatrice, vaindicative. On ressent le danger rien qu' en l' apercevant.Mais, il est déjà trop tard. Les toxines font effets et on est pris dans un enchevêtrement de lianes sortis du sol, qui nous empêche tout fuite.
Tel, la gorgone méduse, combattant percée, le spectateur est pétrifiée par le charme venimeux de cette étrange créature.
Alex Ross, ne c'est pas trompé en exécutant ce dessin. L' œuvre elle même, subjugue et attire le chaland.
D' autre dessinateur se sont laissés happées par cette sirènes végétale pour essayer de comprendre son mystère.
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rick koslovsky,allison sohn,stuart sayger et mickael golden, ont tentés l'expérience, moi aussi : à qui le tour, maintenant...